Face au contexte géopolitique international, le jeu de stratégie Advance Wars 1+2 ne connaît toujours pas de date de sortie. Nintendo avait prévu de sortir son remake Advance Wars 1+2 : Re-Boot Camp en avril, mais la guerre en Ukraine et l’invasion russe ont amené le fabricant à faire retour en arrière, compte tenu de la situation. Ce n’est pas forcément de bon goût de sortir un jeu sur la guerre en cette triste période. L’entreprise n’a pas encore communiqué la date de sortie du jeu. Trop violents, trop sanglants, trop traumatisants. Quels sont les jeux vidéo interdits dans le plus de pays ?
Table des matières
3. Jeu vidéo interdits : Manhunt
Le jeu vidéo violent « Manhunt 2 » a été interdit en Irlande, au Royaume-Uni et en Italie quelques semaines seulement avant son lancement européen prévu mi-juillet. Même un ancien salarié de Rockstar Games a déclaré que les développeurs se sentaient mal à l’aise devant autant de violence. Même si le studio ajoute un filtre anti-violence, ce n’est pas suffisant pour que d’autres pays décident de mettre en vente le jeu. De même, la Corée du Sud, l’Arabie saoudite, l’Irlande, l’Allemagne et plusieurs autres pays, ont simplement interdit le jeu à l’époque. L’Irish Film Censorship Office (IFCO) a interdit le jeu car il contenait des scènes de « violence continue et gratuite ». Même son de cloche du côté du British Board of Film Classification (BBFC) qui a décidé d’interdire la commercialisation du jeu vidéo violent , le harcèlement et le meurtre brutal qu’il diffuse, ce qui pourrait causer des « dommages injustifiés » chez les joueurs. L’Italie a fait de même, avec son ministre italien des communications qui a défini ce jeu « plus que violent, est cruel et sadique » et contient « un encouragement à la violence et au meurtre ».
2. Mortal Kombat
Depuis sa création en 1992, le jeu a attiré l’attention pour de nombreuses raisons, notamment pour son côté très réaliste. Ce qui en fait l’un des jeux les plus gores. La nouvelle édition de Mortal Kombat 11 est à la hauteur de sa réputation. Le jeu est si violent qu’il a été interdit dans trois pays : le Japon, l’Ukraine et l’Indonésie. Cela en raison de l’abondance de sang et surtout les scènes de mort. Les scènes sont des tueries spectaculaires en fin de partie.
1. Jeu vidéo interdit de viol : Rapelay
Dans ce jeu, qui fait clairement référence au viol (« rape » en anglais) comme son titre l’indique, le joueur incarne un violeur sorti de prison qui a pour but de violer les femmes. De quoi susciter la controverse. Interdit en Argentine, son ministre indique qu’il s’agit d’une « apologie évidente de l’abus sexuel, du viol de l’intégrité sexuelle, de la torture, de la discrimination contre la femme et de la pédérastie ». Même la firme internationale Amazon a décidé de retirer ce jeu de la vente. Il a depuis été interdit aux États-Unis, en Australie et retiré du Japon.